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Blog de Zub

10 mai 2005

J'ai de nouveau un toit

Ca y est, j'ai de nouveau un chez moi.
En plus j'ai pu y déménager mon appart au complet.
Je suis en train de faire le tour du proprio, pour voir si rien ne s'est perdu.

Ah, ma nouvelle adresse

    www.bloguedezub.org

Vous ne pouvez pas savoir comme je suis content.

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7 mai 2005

Toupin, Toupine et Torpilleur

   

Suite au petit jeu de Samantdi, apparu un ustensile, certe très utile: le toupin. Et sa consoeur, la Toupine.

Alors s'il est exact que c'est dans les vieux toupins qu'on fait les meilleures soupes; Le ragoût de toupine a de forts relents de faisandé.

En Provence, la daube, de boeuf, de taureau ou de poupre (en français: poulpe) se fait dans une daubière.
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Ceci est une Daubière
Ne pas confondre avec
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ceci qui est une Toupine
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Et oui, c'est bien l'équivalent des pot de chambre de votre enfance.

Ce qui a beaucoup marquée Samantdi, c'était le mode de collectage des dites Toupines.

Il faut se souvenir que jusqu'au milieu des années 50 du siècle dernier, peu de ville française possédaient de système de tout à l'égout.
Alors!!!

Ben chez nous il y avait...
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...le Torpilleur.

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Je vous laisse imaginer le détail des opérations.
Ainsi que la saveur, j'allais dire le fumet, des anecdotes racontées par les anciens.
Les disputes entre les femmes et les sergents de ville chargés de faire respecter les heures de dépot des toupines et l'interdiction de les laver aux fontaines.

Allez, je me replonge dans ma daube de poulpe.

Bon appétit



6 mai 2005

Rencontre

 

Le train avait du retard.
Son appel me l’avait appris.
Bloquée en rase campagne par un mauvais fonctionnement d’un passage à niveau.
Elle m’avait ensuite téléphoné après le départ de Marseille.

Garé en attente sur un arrêt de bus, je la cherchais.
Les alentours de la gare se vidaient. Les autos repartaient avec leurs chargement de voyageurs.

J’en profitais pour prendre une place vacante moins sensible à la susceptibilité des flics.

L’attente recommença.D’un coup d’œil rapide, je vérifiais qu’elle n’était pas perdue quelque part autour du rond point.

L’agitation fébrile de la foule crachée par la gare indiqua qu’un train venait d’arrivé.

Et soudain je la vit. Toute de mauve vêtue. Un grand sac à la main, sa valise à roulette la suivant docilement au bout de son bras.

Sourires et éclats dans les yeux suffirent pour se retrouver embrassés, nous nous étions reconnus.

Pendant le court trajet en voiture, je lui expliquais rapidement ce que nous avions prévu pour elle. Mais en premier, un détour par chez moi pour une collation rapide, Tarte aux deux fromages de chèvre.
Puis direction la nature : le chapelle de Notre Dame du Mai.
Surtout pour la vue, malheureusement masquée, ce jour là par une brume de chaleur, qui acceptât quand même de nous laisser entrevoir un peu de mer.

Le retour par le bord de mer, nous permis de faire plus ample connaissance.

Lilou nous attendait du haut de ses cinq étages sans ascenseur.
Le Chablis aidant, les moules marinières se transformèrent en moules au curry.
Le bavardage animé ne laissa aucun vide s’établir.
La soirée se termina faute de combattant : tous le monde avaient sommeil et remerciât Morphée de sa sollicitude.

Le lendemain fut aussi prometteur de promenade et de repas. C’est ici que se place la fameuse daube de poulpe.

Comme les choses étaient bien parties, le troisième jour fut consacré à une rencontre autour des différends plats concoctés par les convives sur le thème du jour : Kémia, tapas et autres Mézés.
Notre invité se plongeât avec délectation dans des conversations multiples.

Trop court, ce WE rallongé se termina le dimanche matin par le départ d’une amie récemment découverte.

A bientôt Samantdi.

Revient nous vite.

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